Le directeur du Projet Collectif en inclusion à Montréal (PCEIM) nous parle des nuances concernant la distanciation sociale, à lire !
La distance sociale au temps de la COVID-19
On entend parler, de plus en plus, du besoin de limiter la vitesse de propagation de la COVID-19. Une des stratégies qui gagne en popularité afin de ralentir la propagation et d’ainsi permettre au système de santé de mieux répondre aux cas les plus difficiles est l’idée de la distanciation sociale (social distancing). On aimerait nuancer cette idée qui fait le tour des médias, et la décortiquer : la distance sociale solidaire versus la distance sociale stigmatisante.
Le Projet collectif en inclusion à Montréal (PCEIM) favorise l’intégration et la participation sociale des personnes vivant une problématique de santé mentale, notamment par le biais de la mixité citoyenne.
Pour ce faire, nos activités et projets ont pour objectifs de favoriser la participation et la mixité citoyenne, d’outiller les membres pour une implication dans les processus décisionnels de l’organisme, d’accompagner les membres dans leurs démarches d’intégration communautaire, d’améliorer le réseau de contacts des membres, et d’augmenter l’entraide entre les membres.